La chaudière de chauffage central joue-t-elle encore un rôle dans le chauffage de votre maison?

La chaudière de chauffage central est actuellement sous l'attention des médias. Il y a beaucoup d'incertitude quant au rôle de la chaudière de chauffage central dans le chauffage d'une maison. Y a-t-il encore de la place pour la chaudière de chauffage central?

De quoi s'agit-il vraiment? Une (nouvelle) chaudière de chauffage central datant de 2021 ne peut-elle plus chauffer des maisons belges? Ci-dessous les réponses:

La chaudière de chauffage central est-elle taboue dans les maisons belges en 2021?

La chaudière de chauffage central deviendra une partie importante des nouveaux systèmes de chauffage hybrides, dans lesquels une pompe à chaleur sera responsable de la majeure partie du chauffage. La chaudière de chauffage central ne fournit un soutien que dans les cas où il est nécessaire d'augmenter la quantité d'eau chaude ou de chauffer davantage pendant les périodes de gel sévères. De cette manière, moins de gaz naturel est nécessaire et une contribution importante est apportée à l'objectif climatique de devenir neutre en CO2 d'ici 2050.

Donc, la chaudière de chauffage central reste?

Certes, seul celui-ci fonctionnera avec une pompe à chaleur hybride. Les chaudières de chauffage central ne sont donc pas un tabou. Ceux-ci, associés à une pompe à chaleur, assurent le chauffage et l’eau chaude de la maison.

Quel est le rôle de l'ATAG dans ce domaine?

En tant que membre de l’association des fabricants de chaudières, ATAG s’engage pleinement à mettre en place dans les meilleurs délais des systèmes de chauffage hybrides confortables et durables. Accélérer la durabilité des maisons belges, par exemple, en utilisant moins de gaz naturel pour chauffer la maison.

Pourquoi un système de chauffage hybride?

Les pompes à chaleur hybrides joueront un rôle important dans la transition énergétique, la transition du gaz naturel vers d'autres formes d'énergie. "Convertir" complètement la Belgique en All-Electric est, compte tenu des circonstances actuelles, pas encore possible. Cela pose des problèmes d’approvisionnement en énergie, car le réseau électrique existant n’a pas encore la capacité voulue.

Comment voyons-nous cette transition énergétique?

Nous ne faisons pas un choix partial en ce qui concerne le vecteur énergétique et la technologie, mais le plus important de la "discussion sans gaz" est qu'ATAG fait un choix basé sur une réduction maximale des émissions de CO2 à des coûts minimes. De la source d'énergie à l'utilisateur. Et ici aucune coopération entre formes d'énergie n'est exclue. Ce n'est qu'ainsi qu'il est possible de passer du "plein gaz au neutre en CO2".